Inspired by Becky Hemsley’s Breathe from Talking to the Wild, this work echoes the moment when a figure steps into the quiet wisdom of the natural world — not seeking answers, only space to exist.
“So she walked to the forest and stood with the trees… And the forest said nothing, it just let her breathe.”

In this piece, breath becomes both metaphor and material. More than 50 digital layers merge and dissolve into one another, forming a tapestry where the figure and her surroundings are inseparable. Drawn live, the figure is digitally interwoven with hand-painted elements — rosebuds, branches, water, veins of colour, and other life-sustaining forms — creating a sense that she is held gently within the landscape, and the landscape within her.

The image is not simply of someone entering nature, but of someone becoming part of it: inhaling its calm, exhaling its burden, and allowing the quiet to speak in ways words cannot.

Inspirée par l'œuvre Breathe from Talking to the Wild de Becky Hemsley, cette œuvre fait écho au moment où un personnage pénètre dans la sagesse tranquille du monde naturel, sans chercher de réponses, mais seulement un espace où exister.
« Elle marcha donc vers la forêt et se tint parmi les arbres... Et la forêt ne dit rien, elle la laissa simplement respirer. »

Dans cette œuvre, le souffle devient à la fois métaphore et matière. Plus de 50 couches numériques se fondent et se dissolvent les unes dans les autres, formant une tapisserie où le personnage et son environnement sont indissociables. Dessiné en direct, le personnage est numériquement entrelacé avec des éléments peints à la main — boutons de rose, branches, eau, veines de couleur et autres formes vitales — créant ainsi l'impression qu'il est doucement contenu dans le paysage, et le paysage en lui.

L'image ne représente pas simplement quelqu'un qui entre dans la nature, mais quelqu'un qui en devient partie intégrante : inspirant son calme, expirant son fardeau et laissant le silence s'exprimer d'une manière que les mots ne peuvent pas.